Vrai-faux documentaire sur la famille de la metteuse en scène Marine Mane, complice des Scènes du Jura, cette pièce pour un quatuor, tragique et absurde, convoque à la fois l’acrobatie, la danse, la musique, la vidéo et le théâtre.

“Nous jouons dans le jardin de notre arrière-grand-mère. La famille prépare le repas. C’est l’été. Il fait très chaud. Nous sommes alanguies sur l’herbe, si verte et si douce. Les arbres apportent une ombre fraîche. Nous nous parlons, allongées, enlacées, vivantes. Nous roulons l’une sur l’autre, grimpons, rions, le temps se suspend. Il est midi. Notre mère vient nous chercher. Elle nous photographie.”

“Nous jouons dans le jardin de notre arrière-grand-mère. La famille prépare le repas. C’est l’été. Il fait très chaud. Nous sommes alanguies sur l’herbe, si verte et si douce. Les arbres apportent une ombre fraîche. Nous nous parlons, allongées, enlacées, vivantes. Nous roulons l’une sur l’autre, grimpons, rions, le temps se suspend. Il est midi. Notre mère vient nous chercher. Elle nous photographie.”

Ceux qui pensent que la danse n’a pas sa place dans l’espace public jurassien, auront là les meilleurs arguments contraires. Conscient des bienfaits de cette pratique qui relie, le danseur et chorégraphe Olivier Lefrançois, a décidé d’en faire, avec vous, toute une histoire.

Chef-d'œuvre de l’opéra-bouffe italien, cette pièce pétrie de fantaisie verbale est un concentré de puissance dramatique. On rit, on pleure, le cœur dans un tambour, on se pince d’une main moite, car tout, à chaque instant, peut basculer, pour un mot, un silence.